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Mes chers concitoyens, mes chers amis,

 

 

« Il n’y a pas d’idée plus forte que celle dont l’heure est venue »
disait Victor Hugo.
 
Cette heure qui est venue, c’est la nôtre aujourd’hui.
 
Cette idée qui est venue, c’est la nôtre aujourd’hui,

 

mais c’est aussi la vôtre.
 
Car notre projet, c’est votre projet.

 

Car notre victoire, c’est votre victoire.

 

 
L’idée qui est venue, c’est celle du changement, celle de construire désormais notre avenir ensemble au sein de notre commune nouvelle, avec un œil neuf et serein, dans le respect de l’identité et l’histoire de chacun.

 

Je remercie d’abord tous les habitants qui se sont exprimés, car voter est un droit et même un devoir.

 

Je remercie ensuite chaleureusement tous ceux qui nous ont fait confiance, pour notre liste et notre projet, sans oublier ceux qui se sont mobilisés à nos cotés pour obtenir ce résultat.

 

Après 20 ans de mandat, une nouvelle page se tourne et une nouvelle ambition se dessine autour de nos valeurs :
- la démocratie, avec l’écoute, la transparence, la proximité
- le territoire, pour améliorer le quotidien de chacun, toutes générations confondues
- le dynamisme local, au plan associatif et économique
- la gestion, avec la maîtrise des impôts, les économies nécessaires, des investissements rationnels.
 
Nous allons maintenant engager très rapidement de nombreux chantiers, en y associant le conseil municipal dans toutes ses composantes, et aussi la population. Nous espérons que ce sera un lieu d’échanges et de débats constructifs, à la hauteur des défis qui nous attendent.
Ce sera aussi renouer des liens forts avec la communauté de communes, en y prenant toute notre place de ville centre, mais en garantissant l’équilibre de toutes les communes.
 
Pour conclure, je suis fier de porter avec mon équipe cette nouvelle ambition pour notre commune, et je vous donne rendez vous très prochainement pour traduire de façon concrète notre écoute, notre bon sens et notre action.
 
Merci à tous.                                                                                    Lionel COTTENCEAU
                                                                                                                                                         23 mars 2014
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